Réussir votre L2

La première année de droit n’est pas une sinécure mais vous l’avez eue. Et vous pensez avoir fait le plus dur. Cependant, vous allez devoir garder le même rythme de travail et surtout votre motivation: votre deuxième année va vous demander un investissement personnel conséquent.

Un travail personnel régulier

Pour tout étudiant sérieux qui a obtenu sa première année de droit, il ne faudra pas se reposer sur ses lauriers mais conserver un rythme de travail soutenu durant la deuxième année de licence. Il s’agit de préparer attentivement les séances de travaux dirigés pour participer en classe. Les plaquettes sont distribuées ou mises en ligne sur l’Environnement numérique de travail dès le début du semestre. C’est l’occasion parfaite pour prendre de l’avance et, dès les premières semaines, en général assez calmes, lire ses arrêts, de la doctrine sur certaines décisions importantes, rédiger des fiches. Un travail fastidieux mais nécessaire. Durant cette année, on met l’accent sur l’oral et les notes de participation, qui peuvent parfois représenter un tiers de la moyenne. Tout cela demande un travail régulier à la maison.

Assister aux cours en amphi

Le plus important en entrant en deuxième année est de se motiver pour assister à tous les cours d’amphithéâtre. Vous étudierez des nouvelles matières : le droit des obligations et le droit administratif. Le droit privé portera, lui, généralement sur l’étude des relations contractuelles et extracontractuelles. Quant au droit public, il abordera l’organisation de ­l’administration en France, son histoire, son évolution, et son impact sur la vie des citoyens et des collectivités. S’intéresser à ces deux composantes permettra de consolider votre culture juridique.

 

Un repos recommandé pour rester alerte

La deuxième année d’université exige des moments de détente pour libérer son esprit et replonger dans son Code civil ou son manuel de droit administratif régulièrement. C’est ainsi que vous grappillerez des points sur votre moyenne de travaux dirigés. Le plus important est de bien s’entourer, de ne pas affronter seul ce qui est, d’un commun avis, l’année la plus difficile des études supérieures.

 

Par Tristan Gil

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